La sociétaire : une lycéenne
Mme A*, mère de Camille, est sociétaire MACSF. Au moment des faits, elle avait souscrit le contrat « Garantie des Accidents de la Vie » MACSF famille.
Les circonstances de l’accident : plongeon dans une piscine
Au cours de vacances en Espagne, Camille s’amusait dans une piscine avec ses frères. Elle a malheureusement plongé à l’endroit où la profondeur était la plus faible et sa tête a heurté violemment le fond de la piscine.
Les conséquences de l’accident : paralysie
Grièvement blessée, Camille est hospitalisée en urgence et rapatriée en France. Malgré les soins prodigués, elle conserve une paraplégie complète, doublée d’un déficit moteur important au niveau des membres supérieurs.
Dans les suites de l’accident, et à l’occasion d’une démarche au domicile familial, l’inspecteur régleur de la MACSF a expliqué à Mme A., en présence de Camille, comment se déroulerait la gestion du dossier. Il a en outre rappelé les postes de préjudices couverts par le contrat. Ce lien avec la famille sera maintenu jusqu’au règlement du sinistre.
Au terme de son parcours de soins et une fois son état de santé consolidé, Camille est, comme le prévoit son contrat, examinée par un médecin expert désigné par la MACSF qui retient différents postes de préjudices.
La nature de la prise en charge MACSF : nombreux préjudices patrimoniaux et extrapatrimoniaux
En application du contrat Garantie des accidents de la vie MACSF, les postes de préjudices suivants sont indemnisables :
| Préjudices patrimoniaux économiques après consolidation | Préjudices extrapatrimoniaux |
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Le montant de l’indemnisation MACSF
En l’espèce, et compte tenu de l’importance des séquelles en rapport avec l’accident, l’addition des sommes dues pour chacun des postes de préjudices retenus par le médecin expert a dépassé 1 000 000 €, plafond de garantie contractuel.
C’est donc cette somme qui a été versée à Camille.
A l’occasion du règlement de cette somme, l’inspecteur régleur a rappelé à la maman de Camille que les conseillers commerciaux ainsi que les spécialistes patrimoniaux de la MACSF étaient à sa disposition pour proposer à Camille des solutions de placements.
Malgré son lourd handicap, Camille a pu passer son bac et poursuivre des études universitaires.
*Dans le but de mieux protéger le droit à la vie privée de nos sociétaires, plusieurs informations personnelles ont été modifiées.
