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Le métier en images
Portrait de Yannick, chargé de clientèle hospitalierLes missions
- Faire rayonner la marque MACSF au sein des hôpitaux afin de multi-équiper nos sociétaires (cœur de cible salariés hospitaliers paramédicaux)
- Faire connaître nos offres d’assurance grâce à un réseau d’interlocuteurs hospitaliers, en organisant des actions évènementielles, en participant à des salons et des congrès hospitaliers
- Conduire des actions de prise de rendez-vous et de prospection commerciale
Les + du métier
- Un sociétariat de qualité
- Le statut de cadre au forfait
- Une voiture de fonction selon le secteur
- Un package attractif : un salaire fixe avec variable, participation, intéressement et abondement (+3 mois de salaire), des challenges pour remporter des voyages, des coffrets et des cartes-cadeaux
4 choses à savoir
Nos offres d'emploi
A découvrir aussi
Faire rayonner la marque et acquérir de nouveaux sociétaires
Précurseur de l’assurance professionnelle (la fameuse RCP que l’on ne présente plus), la MACSF est clairement identifiée comme LA mutuelle des médecins. Mais les produits et les services MACSF s’adressent à une clientèle plus large. D’où la décision de se structurer commercialement auprès d’un public qui n’imagine pas forcément pouvoir devenir sociétaire, le personnel des hôpitaux par exemple, en créant un département dédié.
Aurélie a été la première à avoir été recrutée en tant que chargée de clientèle hospitalier pour faire rayonner la marque au sein des hôpitaux publics. Ce n’est pas tout à fait un hasard : « Avant, je travaillais dans une mutuelle “hors médecins“. J’avais donc une expérience des marchés sur lesquels la MACSF souhaitait se positionner. Et comme de mon côté, j’avais envie de m’investir dans une structure plus dimensionnée, nos échanges ont très vite trouvé un terrain d’entente. » Aurélie a pris en charge un secteur pilote couvrant la région Grand-Est, la Bourgogne et la Franche-Comté : « Au début, tout était à faire. Avec le temps, les process se sont mis en place, mais pour beaucoup, je suis celle qui est arrivée en premier, une sorte de commerciale hospitalière référente vers qui on vient chercher une info ou un conseil. »
Arrivé après Aurélie sur le secteur de la Seine-et-Marne (77), Yannick n’a pas la même trajectoire : « Après 8 ans d’expérience en assurance, en agence et en centre d’appel, j’avais envie d’aller sur le terrain. Cette création de poste était pour moi une vraie opportunité car tout était à inventer, ce qui était plus confortable pour faire mes preuves. »
Rendre plus lisible l’offre d’une mutuelle très visible
Compte tenu d'un manque d’identification de la MACSF sur les marchés des personnels des hôpitaux (hors médecins), le travail de chargé de clientèle hospitalier consiste autant à positionner la marque qu’à effectuer une démarche commerciale pure de prospection et d’acquisition. « On doit présenter, analyser, préconiser, vendre, en s’appuyant sur un réseau hospitalier qu’il faut construire de toutes pièces, nous explique Aurélie. Pour cela, on met en place des formations, des animations au sein même des établissements. » « La MACSF est connue de nom par ces publics, ajoute Yannick, mais pas ses produits. Sur ce point, c’est le flou pour les personnels de l’hôpital. On doit combler ce retard, gagner rapidement en légitimité pour se positionner de plus en plus comme la mutuelle incontournable. »
Chargé de clientèle hospitalier, un métier à vivre sur le terrain du quotidien
Compte tenu que l’un vient de ce métier et pas l’autre, il est intéressant de voir quels regards Aurélie et Yannick portent sur leurs missions. « Ce métier doit s’envisager sur le long terme, nous dit Aurélie. Il m’arrive de reprendre sous l’étiquette MACSF des dossiers initiés lors de ma vie professionnelle d’avant. Cela montre que les délais de réflexion peuvent être longs et que les liens de confiance qui se tissent sont réels. Mon métier en deux mots : patience et persévérance. »
Pour Yannick, c’est un peu le retour à une page blanche « mais finalement, j'ai vite retrouvé des process que je connaissais. La vraie nouveauté, ce sont les produits. Sur ce point, je suis en mode éponge à absorption rapide. Les formations internes m’aident beaucoup, l’accompagnement de mon encadrement aussi. »
Nos deux chargés de clientèle hospitalier mettent en avant l’autonomie dont ils bénéficient au quotidien, et déplorent les complications liées à la pandémie, comme l’évoque Aurélie : « C’est d’autant plus pesant que nous allons dans les hôpitaux. Quelquefois, on comprend que ce n’est pas le moment. » « C’est sûr, confirme Yannick, mais s’occuper concrètement de celles et de ceux qui sont au front depuis 2020, ça fait vraiment sens. »
Le premier jour, ça compte
« Je me souviens très bien de mes premiers pas dans l’entreprise, nous raconte Yannick, et notamment du jour où je me suis rendu au siège pour mon intégration. J’étais un peu impressionné, mais mon directeur du réseau hospitalier, qui m’attendait à l’accueil, a su me mettre à l’aise. Cette journée a fait tomber la pression, elle m’a aussi bien fait comprendre l’importance de ma mission... »
Pour Aurélie, une anecdote amusante se passe juste avant son intégration : « La mutuelle dans laquelle je travaillais était située à 50 mètres de l’agence MACSF. Autant dire qu’on se connaissait de vue. Une fois mon contrat signé, je suis allé les voir. J’ai adoré leurs têtes quand j’ai poussé la porte de l’agence ! Ils savaient qu’il y avait un recrutement en cours, et quand je leur ai dit que c’était moi leur nouvelle collègue, ils ont trouvé ça super ! »