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On voit tous, à peu près, en quoi consiste un métier de chargé de clientèle. Mais est-ce que cela correspond à la manière dont ce métier est exercé à la MACSF ? Pour le savoir, nous avons interrogé Florence, Nadia, Laetitia, Claire et Serge. Ils exercent ce métier à la MACSF depuis plus ou moins longtemps, sur des secteurs comme Périgueux, Marseille, Niort, Clermont-Ferrand ou encore Strasbourg. Ils vont nous parler de leur quotidien, de leurs missions, de leurs objectifs… Ils nous diront aussi quelles sont les qualités nécessaires pour réussir. Et si au final vous pensez que ce métier est l’opportunité que vous attendiez, il vous suffira d’un clic à la fin de cet article pour postuler.
Commercial dans l’univers de la santé, c’est avant tout être commercial
La question que se pose tout commercial motivé de venir compléter les équipes de la MACSF est de savoir s’il est suffisamment armé pour travailler en direct avec des professionnels de la santé. La réponse est oui, évidemment, comme l’explique Laetitia : « Quand j’ai postulé, j’ai eu très peur de la complexité des produits MACSF. Mais il ne faut pas oublier que la plupart des sociétaires sont juste en demande d’informations, donc on est rarement mis en défaut. » Et puis, dès leurs premiers pas au sein de la Mutuelle, les nouveaux commerciaux suivent des formations très apprenantes, comme le précise Nadia : « On nous présente avec précision les produits et les services MACSF, mais aussi les différents acteurs de la santé que nous serons amenés à rencontrer. Cette présentation, très complète, permet de prendre rapidement ses marques. Ensuite on a un suivi terrain pendant quelques jours et après, on n’est jamais vraiment seul ; on a toujours quelqu’un vers qui se tourner si besoin. » Pour Florence, tout est dans l’attitude : « L’écoute est très importante, la curiosité aussi. Il faut entendre et comprendre le besoin du sociétaire et y répondre, trouver des solutions adaptées. »
Optimiser son portefeuille de sociétaires
A la MACSF, chaque chargé de clientèle est l’interlocuteur privilégié d’un nombre défini de sociétaires. « Je gère un portefeuille de 1 800 comptes. J’ai des médecins, des kinés, des infirmiers, des libéraux, des salariés, des hospitaliers, des internes, des retraités… Ils ont tous déjà au moins un contrat MACSF. En affinant, il reste environ 800 professionnels en activité. Je dois les rencontrer, faire le point avec eux et adapter leur couverture à leur actualité. », précise Florence. Récemment, un plan de contact a été lancé : les chargés de clientèle doivent appeler l’intégralité de leur portefeuille avec comme objectif de transformer le maximum de ces appels en rendez-vous. A chacun sa méthode. « Dans mon planning hebdo, dit Claire, je cale systématiquement trois créneaux d’une heure. J’appelle sans a priori, sans chercher à savoir si c’est un retraité ou quelqu’un que j’ai déjà vu. » Pour Florence, au contraire, « ce sont 25 appels à passer chaque semaine. Je priorise les actifs. » Serge, lui, a ses petites astuces : « J’aime bien prospecter pendant le déjeuner. Entre 11h30 et 13h30, on touche plus facilement les hospitaliers, les internes. Pour les libéraux, c’est plutôt entre 13h00 et 15h30. Et le mercredi, je priorise les femmes. »
Accompagner les professionnels de la santé avant même qu’ils n’en soient
« Nos expertises couvrent l’ensemble de la vie d’un professionnel de la santé, de l’installation jusqu’à la retraite. On a pour vocation de leur apporter une aide à chaque étape », souligne Nadia. Ceci explique que la MACSF est très présente auprès des étudiants et des internes, comme le précise Serge : « On leur explique ce que va être leur vie d’interne, on leur propose des offres en conséquence, jusqu’à une possibilité de logement. Et puis, on leur parle de ce qu’il va se passer après, lors de leur installation. on leur précise l’intérêt de penser tout de suite à une prévoyance, à la retraite… » « On intervient à la fac, explique Claire, c’est une partie de mon métier que j’aime vraiment bien. Je sais que certains étudiants deviendront sociétaires, d’autres non, mais peu importe, je trouve qu’il est utile de parler aux étudiants de ce qu’il les attend. » Ces premiers contacts restent gravés dans la mémoire des personnels de la santé. « Quand ils s’installent, raconte Florence, ils n’oublient pas la MACSF. Et notamment, évidemment, pour la RC Pro, le cœur de nos expertises. »
Etre organisé, la clé du succès
Tous sont unanimes : à la MACSF, on est très autonomes et c’est un réel avantage. « Ici, précise Claire, beaucoup de choses sont fondées sur la confiance. » Mais en contrepartie, il faut être extrêmement organisé, « sinon, confie Florence, on risque de passer à côté de l’objectif principal. Alors moi, je préfère faire un peu de tout tous les jours (appels, relances, gestion). Ça permet de varier les journées, de lisser les actions à faire, de jouer avec les horaires et de ne pas toujours tomber sur des répondeurs. » Serge organise son planning avec une quinzaine de rendez-vous par semaine et ensuite, il met en place des créneaux pour passer des appels, traiter les mails et les sms : « J’essaie de traiter le plus de sujets possible en direct, être réactif est important. Mais si je n’ai pas la réponse, je rebascule la demande vers le service compétent. » Même fonctionnement pour Laetitia à la différence près qu’elle anticipe son planning sur quinze jours. « Il faut noter, ajoute Serge, que l’intégration de l’informatique dans notre quotidien nous fait gagner du temps, notamment sur les tâches administratives. C’est positif. »
La typologie du secteur, une donnée importante
La question peut faire sourire, mais y-a-t-il des chargés de clientèle des villes et des chargés de clientèle des champs ? Hé bien, quelque part, oui. Même si le métier est exactement le même, le découpage du secteur ou les habitudes des sociétaires peuvent modifier la manière dont vous allez l’exercer. Claire, par exemple, évolue sur un secteur très étendu : « Je peux avoir des rendez-vous à deux heures de route. Il faut donc organiser l’agenda en conséquence. » Idem pour Laetitia : « Mon secteur va jusqu’à une heure en voiture pour un rendez-vous. Si on n’en tient pas compte, on perd vite du temps. » En revanche, pour Florence, les choses sont un peu différentes : « Beaucoup de sociétaires aiment venir nous voir. Du coup, sans arrêter le terrain, je suis souvent à l’agence. »
Pour renforcer encore plus sa proximité avec ses sociétaires, la MACSF a décidé il y a quelque temps de pratiquement doubler la taille de ses équipes commerciales. Si vous souhaitez rejoindre cette dynamique et prendre soin de votre avenir, postulez ; des postes de chargé de clientèle sont à pourvoir partout en France.