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Posséder un patrimoine, c’est bien, savoir le gérer, l’optimiser et le pérenniser, c’est évidemment mieux. Telle est l’idée que nos spécialistes patrimoniaux aiment partager avec nos sociétaires. Pour en savoir plus sur ce métier à part, allons à la rencontre de Marion, Benjamin, Guillaume T., Guillaume M. et Pierre-François, de nouveaux spécialistes patrimoniaux. Enfin... nouveaux au sein du groupe MACSF, car ce métier demande de l’expérience et de multiples expertises, et ça, ils en ont.
Un métier à la croisée de la finance et de l’humain
Le point de départ, c’est un audit. Protection du conjoint, études des enfants, épargne, assurance vie, fiscalité, transmission, succession, optimisation fiscale... tout est passé au scan avisé du groupe MACSF. Cette phase est essentielle pour prendre en compte les spécificités et le potentiel de chaque sociétaire. « Avec l’audit patrimonial, nous explique Pierre-François, on aborde en priorité les préoccupations actuelles et à venir des sociétaires. Les questions sont générales et spécifiques. On commence souvent par le juridique via des aspects de donation, de mariage... et ensuite, on affine. » Le juridique et la finance sont une double compétence que l’on retrouve a minima chez nos spécialistes patrimoniaux, comme le précise Marion : « Les sociétaires doivent pouvoir nous interroger aussi bien sur un changement de régime matrimonial que sur un investissement Loi Pinel. C’est un métier par nature très transversal. » « Ce métier, c’est de la finance, oui, mais de la finance passion, ajoute Guillaume M., avec une approche conseil et humaine très forte. L’enjeu est d’apporter des solutions qui répondent aux attentes des sociétaires tout en optimisant la partie commerciale. » Une fois l’audit réalisé et analysé, les préconisations vont dans ce sens, selon les moyens que les sociétaires peuvent engager et le niveau de risque qu’ils sont prêts à accepter.
A la MACSF, le conseil est optimal quand il est sans contrainte
Certains concurrents envisagent le conseil patrimonial avec le seul objectif de placer un maximum de produits maison. A la MACSF, l’approche est différente. Totalement même. Guillaume M. nous en dit plus : « Le groupe MACSF est une mutuelle, ce qui sous-entend tout un système de valeurs qui font sens, mais elle est en plus une mutuelle qui place ses sociétaires au centre de la relation. Cela change complétement l’approche métier. » La vraie finalité c’est d’apporter le bon conseil, celui qui va véritablement servir le sociétaire. « Ce qui signifie que nos préconisations vont embarquer des solutions MACSF, oui, mais pas que. C’est pour nous une vraie liberté. » Approche que valide Marion. « Le conseil, c’est ce qu’on aime dans ce métier. Mettre en place une stratégie qui colle aux besoins présents et futurs des sociétaires. Bien sûr que j’ai des objectifs commerciaux, mais la satisfaction du sociétaire passe avant. Venant d’un environnement plus rude, cette vision est vraiment épanouissante. » Cet engagement pour une objectivité totale amène le groupe MACSF à des partenariats qui sont très loin de son cœur de métier, comme le précise Benjamin : « Depuis peu, nous développons une offre immobilière en association avec Nexity. C’était une forte demande des sociétaires. C’est dans la logique des choses, le groupe MACSF ne peut pas proposer que de l’épargne ou des produits maison. »
Plus de plus à la MACSF
Tout en capitalisant sur leurs expériences précédentes, nos spécialistes patrimoniaux voient de façon positive leur début MACSF : « J’ai gagné en autonomie, en responsabilité, en qualité de vie et de travail » nous dit Pierre-François. Si Guillaume T. salue l’agilité de la structure, « les circuits sont courts, c’est hyper efficace. On connaît vite la personne qu’on a au téléphone. Cela nous permet d’obtenir en un temps record toutes les informations dont on peut avoir besoin », Guillaume M. met en avant la qualité des sociétaires : « Ils sont aguerris aux marchés, ouverts, ils accordent beaucoup de confiance à la MACSF. C’est extrêmement valorisant au quotidien. » Confiance qui marche dans les deux sens, comme le souligne Benjamin : « J’ai été surpris par la totale transparence du groupe vis-à-vis de ses sociétaires. D’où je viens, ce n’était vraiment pas le cas. »
Le premier jour, forcément un jour différent
Si généralement on se souvient longtemps de ses premiers pas dans une nouvelle entreprise, avec la pandémie, les situations sont quelquefois encore plus étonnantes. « Après un premier échange très positif, nous explique Guillaume T., le confinement de mars 2020 est tombé. On entre alors dans une période de rien. Le contact est conservé, l’intérêt réciproque confirmé, mais rien n’avance. En juin, j’ai un rendez-vous à La Défense, ambiance seul au monde. Début juillet, enfin, je suis recruté. » Histoire un peu similaire pour Pierre-François : « Le confinement est tombé avant que je ne signe mon contrat. Sauf que j’avais démissionné de mon ancien poste ! Il y a eu une petite période de flottement mais les RH m’ont vite rassuré. » La période ne facilite pas non plus l’arrivée de Guillaume M. : « J’ai pu rencontrer mes futurs collègues, mais pas mon futur manager. Je ne l’ai vu que le jour de mon arrivée. Il m’a dit alors qu’il n’avait pas bien dormi, je lui ai répondu que moi non plus ! » C’est un petit geste de bienveillance qui a marqué l’esprit de Benjamin : « L’agence MACSF est dans un quartier que je connais bien. Lors de mes entretiens, nous sommes venus à parler de la bonne boulangerie du coin. A mon arrivée le premier jour, un café avec l’équipe m’attendait, ainsi que des croissants de cette fameuse boulangerie. » Mais quelquefois, autant de bienveillance peut surprendre, n’est-ce pas Marion ? « A mes débuts, autant de bienveillance, de confiance... je n’avais tellement pas été habituée à ça que je trouvais cela limite suspect ! »