Une seule exception autorisée
Le communiqué DGS-urgent n° 2022-73 du ministère de la Santé et de la Prévention daté du 6 septembre 2022 précise qu’en cas d’impossibilité pour l'un des deux parents de recueillir l'accord de l'autre parent, la vaccination peut néanmoins être pratiquée.
Il ajoute que "cette impossibilité peut par exemple être avérée, lorsque l’autre parent, qui réside dans une autre ville, voire à l’étranger, ne donne pas suite, dans un délai raisonnable, à la demande du premier parent sollicitant son accord pour la vaccination anti-covid de leur enfant".
Par ailleurs, afin de simplifier l’accès à la vaccination, il sera toujours possible pour un tiers d’accompagner le mineur à son rendez-vous de vaccination. L’accompagnant doit pouvoir établir qu’il détient l’accord des deux parents, en présentant la fiche d’autorisation parentale.